J’avais mon chibre bien huilé à la main, mon portable dans l’autre et un paquet de kleenex à portée. Prêt pour un bon moment de branlette au tel. C’est le plaisir que je m’offre au quotidien après une longue journée de taf, il faut bien trouver un bon côté à être un homme célibataire … trop timide pour aborder une femme dans la vraie vie. Au tel rose, j’oublie toute inhibition car je deviens un homme anonyme. Quand une hôtesse me demande de me décrire je peux devenir un pur beau gosse alpha et la faire mouiller en titillant son imagination, j’adore !
Comme à mon habitude, j’ai regardé les nouveaux profils de filles dispo pour un dialogue hard et mon regard s’est arrêté sur une petite bombe de 19 ans ! Nina se présentait comme étudiante, heureuse de gagner en expérience dans des dial sans tabou, ouverte à tous les scénarios… pas farouche la gourgandine. Moi qui fantasme à mort sur les chattes étroites des teens qu’on voit baiser en sextape sur le net, j’ai immédiatement composé son numéro. C’est ce que j’adore sur le téléphone rose : pas d’inscription, pas de numéro de carte bleue à communiquer : un simple appel, et c’est parti pour une nouvelle aventure libertine.
3 sonneries plus tard, j’ai eu droit à un « allo » délicieusement innocent. J’étais jusque là habitué à être accueilli par des filles sûres d’elles, chaudes pour se lancer dans l’action dans les premières secondes. Pour le coup, non ! La miss semblait tétanisée au téléphone, j’ai même vérifié si je ne n’avais pas composé un faux numéro. Non, c’était bien une jeune femme toute candide que j’avais en ligne et elle semblait ultra stressée. Certains auraient raccroché, exigeant une hôtesse salope et décomplexée pour jouir rapidement… moi, cette innocence m’a directement filé la trique.
Je lui ai demandé de se présenter et à ma grande surprise, cette teen m’a avoué que j’étais son premier client de téléphone rose ! J’étais en communication avec une nymphette quasiment pucelle. Elle était excitée de cette expérience de sexe virtuel mais ne savait pas comment s’y prendre. Du coup, je lui ai proposé un roleplay en conséquence : elle serait mon élève et moi son professeur pervers la faisant chanter pour qu’elle ait de meilleures notes. Oui je suis un pervers, j’assume… mais cela ne reste qu’un jeu au téléphone rose non ?
Quel pied de l’imaginer à genoux en train de me sucer la queue puis m’offrir son cul vierge à baiser sur mon bureau. Elle s’est caressée en direct au son de ma voix et j’ai balancé la purée en écoutant ses gémissement… elle était honteuse d’avoir eu un orgasme dans ce scénario de soumission à un homme ! Je l’ai évidemment rassuré. Cette catin était l’esclave sexuelle parfaite et depuis, je l’appelle presque tous les jours pour une bonne partie de sexe au tel et la pousser dans ses retranchements.
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